Je suis allé à la Pharmacie…

 

Je suis allé à la pharmacie.
Eh oui ! après les chaussures, voici la suite de mes aventures dans un monde que je ne comprends pas et qui m’est devenu totalement étranger.

Je suis allé à la pharmacie, donc.
En effet, régulièrement, je fais l’inventaire de mon armoire à pharmacie et complète les manques.
En l’occurrence, il me fallait des bandages et un certain type de pansements adhésifs.
Pour ne pas me tromper, j’en ai donc pris un exemplaire qui me restait et l’ai présenté à la pharmacienne :

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J’ai acheté des Chaussures…

J’ai acheté une paire de chaussures !
Oui, je suis un grand fou.
Bref.
Toujours est-il qu’à l’une des chaussures était attachée cette étiquette d’avertissement :

Je crois que je ne suis vraiment pas fait pour ce monde…

Ensablé

L’événement cinématographique du moment est « Dune – 1ère partie » de Denis Villeneuve.
Je suis donc sorti de ma tanière et l’ai vu hier.
Je vous livre mon avis sur la question après l’affiche.
:!: Même si je ne spoile pas le film, si vous ne voulez rien savoir, passez votre chemin !

Adapter un chef d’œuvre de la littérature au cinéma est toujours une gageure, a fortiori lorsque ce chef d’œuvre est un énorme pavé d’une complexité rare, du moins pour un roman grand public.
« Dune » de Frank Herbert en est à sa troisième adaptation, si l’on excepte la tentative hallucinée et (heureusement ?) avortée de Jodorowsky dans les années 70 :
• par David Lynch au cinéma, en 1984, avec un budget de 41 millions $ (soit l’équivalent de 108 millions $ aujourd’hui)
• par John Harrison à la télévision, dans une mini-série de 3 épisodes en 2000, avec un budget de 20 million $ (soit l’équivalent de 32 millions $ aujourd’hui)
• et enfin par Denis Villeneuve au cinéma, en 2020 et 2024 (pour l’éventuelle 2nde partie), avec un budget pour la première partie de 165 millions $

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Domicile, doux Domicile

Le risque zéro n’existe pas. Comme par exemple celui d’écrire des lieux communs.
Mais c’est justement parce qu’il n’existe pas qu’il faut se prémunir des risques qu’on peut d’ores et déjà identifier.

Inondations en Europe de l’ouest : 156 morts en Allemagne, 183 au total (bilan provisoire).

On le voit avec cet exemple dramatique, même l’Allemagne, normalement connue pour être organisée et au carré sur bien des points, a subi des dégâts et des pertes humaines terribles. De fait, le risque est toujours vu, dans nos sociétés occidentales, comme ne nous concernant pas, car touchant bien plus souvent les pays ou régions moins développés. Et, par conséquent, nous avons perdu cette compétence qu’est la prévision et la gestion du risque, sauf lorsque celui-ci est financier ! Nous sommes pourtant environnés de mises en garde de toutes sortes, mais pour des dangers sans véritable lien avec notre vie quotidienne, hors métiers spécifiques.

Ainsi, en Belgique, ordre a été donné à la population de Liège d’évacuer la ville… sans qu’aucun plan d’évacuation n’ait été mis en place et rien d’organisé, ce qui est le meilleur moyen de semer la panique et de créer des problèmes qui vont empirer la situation (cf. ouragan Katrina à la Nouvelle-Orléans en 2005), preuve, s’il en est besoin, que les pays occidentaux ne sont pas du tout préparés à faire face aux défis qui viennent.

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